Tu es grand et élevé bien au dessus des cieux.
Rien ni personne jamais n’a pu pénétrer
Le souffle brûlant, l’atmosphère du plus inaccessible lieu,
La présence du Père et du Fils bien-aimé.
Baigné de lumière, tout de gloire environné,
Règne l’amour auquel je suis invité.
Comme il est saint, saint,
Saint est l’Éternel, le Dieu des armées immortelles.
Comme il est saint, saint,
Sainteté au Père, le roi des cieux et de la terre.
Comme il est saint, saint,
Saint, l’agneau de Dieu, lion de Juda, fils glorieux.
Comme il est saint, saint,
Saint, l’Esprit de vie qui donne le souffle et rend la vie.
Comme il est saint.
Comme une larme perdue dans l’océan que ton amour dessine,
Quand l’univers entier ne peut te contenir,
Ma raison rend les armes quand elle se penche sur l’abîme indicible
Et plonge sans fin dans l’amour infini.
Prosterné dans l’espace, entre le rire et les pleurs,
Je te découvre tout au fond de mon cœur.
Quand je contemple à nouveau, à l’aube de l’éternité,
Le bois où mon sauveur se laissa crucifier,
Quand je vois les mains, les pieds que mon cœur pécheur a cloués,
C’en est plus que mon âme ne peut supporter.
Grâce incomparable, ton amour me terrifie,
Toi, le Dieu fait homme, qui pardonnes et qui pries.
(Pont)
Il n’est personne, vraiment personne,
Personne qui soit comme toi, Seigneur.
(× 4)