Quand l’heure fut arrivée, effrayé, angoissé, tu partis prier.
Pour faire la volonté de ton père bien-aimé, tu fus arrêté.
Attaché au bois, tes larmes ont coulé,
Irriguant ma foi, effaçant mes péchés.
Cloué à la croix, tu t’es sacrifié
Pour montrer la voie ; comment te remercier ?
Tu as tout payé.
Accusé, torturé, devant la foule exhibé, tu fus condamné.
Moqué, renié, deux brigands à tes côtés, tu mourus délaissé.