Malgré tout
Pascal Roger
Si les portes se ferment, que les vents soufflent fort, Je marcherai quand même, malgré tout. Perdu et sans ami, esseulé, sans abri, Je resterai debout malgré tout.
Malgré tout, j’avancerai. À genoux, au cœur du danger, Je tiendrai sa main malgré tout, (Sauf si pont) Malgré tout.
Quand, après le beau temps, vient rugir le tonnerre, Que l’hiver dure longtemps, trop longtemps, Si les années s’enfuient, que beaucoup sont partis, Je veux tenir sa main, malgré tout. (Pont) Ton amour pour moi me fait marcher droit. Tu es mon réconfort, mon trésor. Ton amour pour moi me fait marcher droit. En lui je suis fort. (× 2) Tu consoles mes chagrins ; ton regard me soutient. Je ne mérite rien, jusqu’au bout.
Jusqu’au bout je t’aimerai, Dans les tempêtes ou menacé, Je tiendrai ta main, je tiendrai ta main, Je tiendrai ta main malgré tout, Malgré tout.