Comme une biche soupire après des courants d’eau,
Ainsi mon âme soupire après toi, ô mon Dieu.
Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant.
Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant.
Quand irai-je et paraîtrai-je devant la face de Dieu ?
Mes larmes sont mon pain du jour comme de la nuit.
Comment toujours trouver les mots, quand on me dit :
Où est-il donc, ton Dieu, ton Dieu vivant ?
Où est-il donc, ton Dieu, ton Dieu vivant ?
Quand irai-je et paraîtrai-je devant la face de Dieu ?
Pourquoi donc, ô mon âme, es-tu si malheureuse,
Et gémis-tu sur moi ? Mets ton espoir en Dieu !
Je le louerai encore, mon Dieu vivant.
Je le louerai encore, mon Dieu vivant.
Oui, j’irai, je paraîtrai devant la face de Dieu.