Humble et sans faute, chargé des nôtres
Jusqu’au sang qui ôte le péché du monde.
Soumis au Père jusqu’au calvaire,
L’espoir de la terre cloué sur la croix.
Jésus, ô digne rançon divine
Sur l’autel ultime d’un Dieu apaisé.
La nuit s’effondre, Christ triomphe,
Rédempteur du monde, tout est accompli.
Que craindre encore, puisque sa mort
M’affranchit du sort qui me condamnait ?